En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous proposer des contenus et services adaptés.
Mentions légales.
 
 
 
Vous êtes ici :  Accueil
    Imprimer la page...

Bienvenue !

BoutonAcces1.jpgimg-paypal.jpg
PagAccueil_Bandeau.jpg

x

 

Dernier numéro paru : n° 140

x

CouvSC140.jpg

x

Numéro sorti des presse le 24 novembre 2022

Alors
il nous faut aller du côté banal et bancal de la langue,
là où le minuscule s'accoquine au ridicule,
là où le trésor et les mots s’entremêlent,
transparence entre abstrait et concret du trésor.

Tésor.
Puis trésor. C'est un r, en catimini, qui nomme enfin choses précieuses, et l'endroit où se conservent choses précieuses. Tésor, tes ors, cet intime d’être ou d’espèce,
trébuchant, cet infime effluve qui fait fleuve de presque rien.

Devant l'épreuve du peu, les voleurs de guère amassent trésors. Et ce n'est que guère, si peu, quand leurs territoires monstrueux les privent d'eux-mêmes.

Extrait du texte collectif

x

x

x

Numéro 139

Couv139-Alex.jpg

x

x

Numéro double : n° 137/138

x

Henri TRAMOY

x

SOIGNER LES SEMAILLES

x

x

Le siècle bafouille, se cherche. Ce qui s’effondre. L’ombre s’étend mais la lumière est dans les cœurs. Ce qui palpite.
Nous sommes dans un gris, un clair-obscur. Alors il faut soigner la langue et aiguiser le verbe. La langue est-elle capable de réenchanter le monde ? L’auteur le pressent. Le verbe est-il capable de renouer les fils ? L’auteur l’imagine.
Le langage se veut souffle, rupture de rythme. Et ses silences. Bref. Urgence que la langue rocaille.
Nous, ils. Il, elle. Humanité en fusion. Semailles.

x

CouvSemaillesHT.jpg

La dernière nouvelle

Bonnes nouvelles - le 28/11/2022 15:12 par soleilscendre

Ouf ! Le numéro 140 de la revue (Trésor de guère) vient tout juste de sortir. Il nous est parvenu le premier jour de la réunion du comité de rédaction, ce 25 novembre dernier. La relecture à plusieurs voix des textes du numéro, cette redécouverte, nous a procuré une certaine émotion. Comme nous aimerions que davantage encore de lecteurs puissent partager cette lecture ! Abonné.e.s, n'hésitez pas à abonner vos ami.e.s, à offrir ce numéro. Lectrices occasionnelles, pourquoi ne pas franchir le pas de l'abonnement ? Et vous, toutes et tous les autres, venez découvrir !

La suite s'annonce. Le collectif et ses auteur.e.s s'attaquent à un monument de l'histoire littéraire de notre pays : le trobar, l'art des troubadours et tobairitz ! Un art à l'origine de toute la poésie française. Et un genre qui constitue aussi une pratique d'une incroyable modernité, dans les principes d'écriture qui l'animent comme dans les sujets qu'il traite. Auteur et auteures (oui nous ne renonçons pas au mot auteure, emprunté au français du Québec, qui donne depuis bien longtemps aux femmes le genre que la langue hexagonale lui a dénié si longtemps, avant de dédaigner le bien commun de notre langue cousine, en créant l'inutile autrice), auteurs et auteures donc, ne passez pas à côté de l'occasion de nous adresser vos textes. Ils seront lus en vue de leur publication lors du prochain CR, en février.